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Le marché des arts d’Afrique se développ... see more Le marché des arts d’Afrique se développe auprès d’un petit nombre de clients chinois, attirés par ses formes épurées. Parmi eux, des artistes, des hommes d’affaires ou des intellectuels, dont quelques femmes. Ils plébiscitent les pièces aux formes épurées dont l’esthétique a un potentiel universel, boudant au contraire les objets magiques et rituels à la forte connotation spirituelle. Point commun de cette clientèle : elle est extrêmement discrète et ne lève guère le voile sur sa collection. Il est pourtant une figure emblématique de ces nouveaux collectionneurs : l’exubérant Leinuo Zhang, installé à Milan et à la tête de plusieurs sociétés dans le domaine de la mode, qui ne manque pas d’exhiber fièrement ses acquisitions sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui, outre les ventes publiques, il se fournit à Saint-Germain-des- Prés, chez le Bruxellois Didier Claes ou chez le Milanais Dalton Somaré. see less
Eléonore Théry
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Le plus grand salon international des arts... see more Le plus grand salon international des arts premiers, asiatiques et d'archéologie se tient à ciel ouvert à partir d'aujourd'hui dans le quartier des Beaux-Arts et de Saint-Germain-des-Prés, à Paris. Jusqu'au 15 septembre, 64 marchands internationaux sont réunis pour cette 18e édition, qui témoigne d'une place croissant accordée à l'archéologie, avec la présence de huit galeries dont Arteas Ltd (Londres), Cahn Contemporary (Bâle) et la Galerie Eberwien (Paris). La collectionneuse grecque Kyveli Alexiou est présidente d'honneur de cette édition. Parmi les exposants, on retrouve les galeries Bacquart (Paris), Joe Loux (San Francisco) et Martin Doustar (Bruxelles), Bernard Dulon (Paris) pour les arts premiers, Max Rutherston Ltd. (Londres) pour les arts asiatiques ou encore J. Bagot Arqueología S.L. (Barcelone) pour la section archéologie. see less
The Art Newspaper Daily
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Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours de... see more Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre » Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années. Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali). Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand. see less
Marie Potard - Le Journal des Arts
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Parcours des mondes in Paris - widely rega... see more Parcours des mondes in Paris - widely regarded as the world’s most important tribal art event – is good at looking to the past while engaging with the present. While most of the exhibitors at this annual international event staged in and around the galleries of Saint-Germain-des-Prés (11–16 September) focus on tribal art – the lion’s share from Africa – space is also found for contemporary expressions of traditional practice. This may be recent Aboriginal art or, as last year’s honorary president, Javier Peres, demonstrated in the loan exhibition he staged in the Espace Tribal, the work of artists from across the globe who reconnect to their cultural roots through the prism of modern and contemporary art. Both loan exhibition and honorary president this year connect the tribal with the contemporary. see less
Susan Moore - Apollo
The Art Newspaper Daily
the 29 november at 00h00
La 18e édition du Parcours des mondes s'ouvre à Paris
Le plus grand salon international des arts premiers, asiatiques et d'archéologie se tient à ciel ouvert à partir d'aujourd'hui dans le quartier des Beaux-Arts et de Saint-Germain-des-Prés, à Paris. Jusqu'au 15 septembre, 64 marchands internationaux sont réunis pour cette 18e édition, qui témoigne d'une place croissant accordée à l'archéologie, avec la présence de huit galeries dont Arteas Ltd (Londres), Cahn Contemporary (Bâle) et la Galerie Eberwien (Paris). La collectionneuse grecque Kyveli Alexiou est présidente d'honneur de cette édition. Parmi les exposants, on retrouve les galeries Bacquart (Paris), Joe Loux (San Francisco) et Martin Doustar (Bruxelles), Bernard Dulon (Paris) pour les arts premiers, Max Rutherston Ltd. (Londres) pour les arts asiatiques ou encore J. Bagot Arqueología S.L. (Barcelone) pour la section archéologie.
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Marie Potard - Le Journal des Arts
the 30 august at 00h00
LE PARCOURS DES MONDES S’OUVRE À L’ARCHÉOLOGIE
Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre »
Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années.
Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali).
Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand.
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Susan Moore - Apollo
the 14 may at 00h00
Parcours des Mondes - Susan Moore selects her highlights of the event
Parcours des mondes in Paris - widely regarded as the world’s most important tribal art event – is good at looking to the past while engaging with the present. While most of the exhibitors at this annual international event staged in and around the galleries of Saint-Germain-des-Prés (11–16 September) focus on tribal art – the lion’s share from Africa – space is also found for contemporary expressions of traditional practice.
This may be recent Aboriginal art or, as last year’s honorary president, Javier Peres, demonstrated in the loan exhibition he staged in the Espace Tribal, the work of artists from across the globe who reconnect to their cultural roots through the prism of modern and contemporary art. Both loan exhibition and honorary president this year connect the tribal with the contemporary.
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Anne Crane - Antiques Trade Gazette
the 14 may at 00h00
Join the tribal culture club
The gallery-lined medieval streets
of the St-Germain-des-Prés area of Paris will be thronged with a babel of different accents and cultures during the second week of September.
The 17th edition of the Parcours des Mondes, the city’s celebrated tribal art event, runs for six days from September 11-16. Taking place in multiple galleries in this ancient quarter, it attracts exhibitors and visitors from around the world. [...]
This is manifest in the various exhibitions that participants put on. The degree of scholarship involved
in these displays, accompanied by catalogues, endows them with serious scholarly interest.
But if this all sounds somewhat recherché, that belies the friendly, lively ambience of the Parcours in full swing.
The fact that many of these pieces also have an aesthetic appeal only adds to the attraction and explains why tribal art is such a strong sector of the market.
It certainly attracts the most erudite aficionados, but as a relaxed open event, the Parcours can appeal at all levels and every price point.
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Tribal Art Magazine
the 30 november at 00h00
Parcours des mondes 11 - 16 septembre, Saint-Germain-des-Prés
Si Parcours des mondes est synonyme d’animation, il l’est tout autant – si ce n’est davantage ! – d’excellence et de rigueur ; des valeurs que l’organisation défend avec brio et dont les galeries se font les étendards avec des accrochages dignes d’un cadre muséal. La dix-septième édition du salon qui approche ne sera pas une exception au vu des nombreuses expositions thématiques qui ont été annoncées.
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Philippe Dagen - Le Monde
the 14 september at 00h00
Promenade à travers les "arts lointains" et l'histoire à Paris
Comme toujours alternent au fil du parcours des pièces de grande qualité. Parmi celles-ci, la statuette dogon (Mali), qui pourrait être un Giocometti, que montre Bernard Dulon, et, chez lui aussi, un masque tchwoké (Congo) d'une admirale sérénité. Charles-Wesley Hourdé présente une figure de reliquaire fang (Gabon) très suggestive et Jean-Edouard Carlier un masque venu de la baie de l'Astrolabe (Nouvelle-Guinée) si surprenant dans ses stylisations que le mot "chef-d'œuvre" est ici justifié. Il l'est pour la femme à la coupe yoruba (Nigeria), qui trône au centre de la galerie du Bruxellois Serge Schoffel.
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S. Decoster
the 17 august at 00h00
Bérénice Geoffroy-Schneiter - THE ART NEWSPAPER DAILY
La dix-huitième édition du Parcours des mondes a démarré en fanfare dans une atmosphère bon enfant, où se croisent conservateurs de musée, collectionneurs pointus et simples curieux.
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Armelle Malvoisin - Le Quotidien de l'Art
the 11 april at 00h00
Le Parcours des mondes repense sa stratégie
Créé en 2001 par Rik Gadella et repris en 2008 par l'homme d'affaires et collectionneur d'arts premiers Pierre Moos (qui a également racheté le magazine Tribal Art), le Parcours des mondes, salon à ciel ouvert où les exposants accueillent les visiteurs dans les galeries de Saint-Germain-des-Prés, lance sa 18e édition ce 10 septembre, avec 65 participants. Devenu le rendez-vous internaitional de référence pour les arts premiers, [...] l'archéologie sera [cette année] particulièrement à l'honneur avec huit exposants (contre trois en 2018).
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Judith Benhamou-Huet - Les Échos
the 20 february at 00h00
Les nouveaux territoires des arts primitifs
Le Parcours des mondes, manifestation
unique en son genre, rassemble
65 professionnels des arts dits « primitifs » à Saint-Germain-des-Prés durant
trois jours. On y assiste à la montée en puissance de l’art océanien
ou de l’art du bambou japonais.
L’une des expositions les plus
spectaculaires du Parcours est celle consacrée à la Galerie Flak aux arts de Nouvelle-Irlande. Julien Flak a mis plusieurs années pour rassembler l’ensemble en provenance de cette île de Papouasie- Nouvelle-Guinée qui fait partie de l’archipel Bismarck. Longue de 340 kilomètres, elle a été colonisée par les Allemands en 1884, mais l’explorateur Bougainville s’y était arrêté en 1768. Un riche catalogue explique que la vie rituelle des clans du nord de la Nouvelle-Irlande était rythmée par de longues cérémonies funéraires qui donnaient lieu à la création de sculptures complexes. Elles sont faites, comme on peut le voir chez Flak, d’une impressionnante imbrication d’animaux
en bois sculpté et coloré qui forment des masques et autres ornements corporels. Dans cette galerie, les œuvres océaniennes sont à vendre entre 4.000 et 100.000 euros.
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Stéphanie Pioda - La Gazette Drouot
the 18 june at 00h00
Montée en puissance de l'archéologie au Parcours des mondes
Pour sa dix-huitième édition, le Parcours des mondes ouvre sa géographie pour renforcer la présence de l'archéologie, ayant définitivement conquis sa place de leader mondial dans les arts extra-européens.
Ils seront tous là ! Collectionneurs, amateurs, curieux, conservateurs de musées et décorateurs se presseront des quatre points cardinaux de la planète pour ne rater sous aucun prétexte ce rendez-vous dédié aux arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie, des Amériques et à l’archéologie. «Un événement mondial sans équivalent», s’enthousiasme Christophe Hioco (Paris) ; «Assurément le dernier salon de ce type encore attractif pour une très large clientèle internationale», renchérit Philippe Boudin de la galerie Mingei (Paris).
«Beaucoup programment ce moment pour se faire plaisir, sachant que les marchands ont réservé leurs plus belles pièces», analyse Olivier Larroque, qui dévoile pour l’occasion une poupée de divination osanyin du Nigeria, dont on connaît quatre ou cinq exemplaires au monde. Qualité, rareté et découverte sont les maîtres mots des sélections pointues, réu nies bien souvent sur plusieurs années. Lucien Viola, de la galerie l’Ibis (Marrakech), rêve qu’un mécène achète sa sculpture fragmentaire de Néfertiti en granit rose pour l’offrir au Musée royal d’art et d’histoire de Bruxelles, et ainsi compléter le groupe formé avec son époux, Akhenaton. Le travail de fonds des galeries offre l’opportunité de monter une vingtaine d’expositions thématiques remarquables, à l’image de celles sur les ethnies - Yoruba chez Serge Schöffel (Bruxelles) ou Baoulé chez Lucas Ratton (Paris) - sur l’art de la vannerie de bambou à la galerie Mingei (Paris), les masques sacrés de l’Afrique de l’Ouest et Centrale enchantant la galerie Abla & Alain Lecomte (Paris).
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