Une question ?

Galerie Eberwein Archéologie égyptienne et du bassin méditérranéen

La Galerie Eberwein est spécialisée dans l'archéologie classique des régions du bassin Méditarranéen et d'Égypte.

Biographie

La Galerie Eberwein travaille dans l'art des anciennes civilisations du bassin Méditerranéen depuis quarante ans.

Antonia Eberwein, fille de la fondatrice Roswitha Eberwein assure la continuité et le succès de l'entreprise avec une galerie située dans le quartier Saint-Germain-des-Prés à Paris.

La galerie est spécialisée dans l'art égyptien et traite également des objets issus de cultures limitrophes, datant de 3500 av. J.-C. à la période copte d'environ 1000 après J.C. Chaque objet est examiné sur son authenticité et sa provenance et dispose d'un dossier complet détaillant l'histoire et le contexte culturel, les publications pertinentes et le certificat d'authenticité. La collection, de qualité muséale, offre une large gamme d'objets de haute qualité pour le collecteur expérimenté ou bien l’amateur débutant dans la collection. Les relations étroites avec les acteurs clés du monde de l'art antique dans le monde entier et une clientèle internationale qui comprend des collectionneurs privés et des musées, témoignent de la réputation de la galerie.

En tant que membre de l'IADAA, du SNA et du Verband der Kunst und Antiquitätenhändler Niedersachsen, affiliés à CINOA, la galerie participe régulièrement aux foires internationales, notamment BRAFA Brussels, TEFAF, PAD, BAAF Brussels, BAAF Basel and Westdeutsche Kunstmesse and Kunstmesse München.

Découvrez ses œuvres

STATUE MAGIQUE

Représentation du dieu Aha

Égypte

Moyen Empire, 2040-1782 av. J.-C.

Dent d’hippopotame

16 x 4,9 x 2,9 cm

La figurine debout du dieu Aha est représentée nue. Une large et ronde tête repose sur un corps trapu aux jambes archées. Le visage aux traits animaliers est encadré par une crinière de lion surmonté d’oreilles de lion. Les bras près du corps avec les poings serrés et percés pour probablement tenir des serpents réalisés en métal. Le phallus est cassé, ainsi que la jambe gauche et la queue de lion. Sous le pied droit se trouve une cheville qui servait d’attache.

Il y a quatre mille ans, il y avait déjà des dieux semblables au dieu Bes. Comme lui ils étaient représentés avec un corps humain nu, les jambes archées, la crinière et la queue d’un lion pour montrer qu’ils étaient très puissants. Le dieu masculin s’appelait Aha, «Le Combattant», et tenait des serpents dans ses mains. La contrepartie féminine de ce dieu pouvait également tenir des serpents, des lézards ou des lapins. Malheureusement, son nom n’est pas connu.

Provenance :

- Ancienne collection particulière France, ensuite collection particulière G.B. Allemagne avant 1980

Littérature :

- C. Loeben: Aegyptiaca Kesteriana 2 – Bes, Rahden/
Westphalen 2020 R. Drenkham: Elfenbein im Alten Ägypten, Leihgaben aus dem Petrie Museum, Kestner Museum Hannover 1987

Parallèle :

- UC London, Petrie Museum of égyptian Archeology, Invent. 16069, from Sediment, tomb 1300 pour un parallèle du pendant féminin voir Manchester Museum Acc. No. 1790, Ramesseum tombe

© Studio Sebert

Contact

22, Rue Jacob, 75006 PARIS, France

+33672904070

www.egypt-art.com

Retrouvez la galerie Eberwein pendant le salon 

Galerie Eberwein

22, rue Jacob

Cliquez ici pour retrouver tous les exposants au Parcours des mondes.

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Revue de presse

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Le marché des arts d’Afrique se développ... voir plus Le marché des arts d’Afrique se développe auprès d’un petit nombre de clients chinois, attirés par ses formes épurées. Parmi eux, des artistes, des hommes d’affaires ou des intellectuels, dont quelques femmes. Ils plébiscitent les pièces aux formes épurées dont l’esthétique a un potentiel universel, boudant au contraire les objets magiques et rituels à la forte connotation spirituelle. Point commun de cette clientèle : elle est extrêmement discrète et ne lève guère le voile sur sa collection. Il est pourtant une figure emblématique de ces nouveaux collectionneurs : l’exubérant Leinuo Zhang, installé à Milan et à la tête de plusieurs sociétés dans le domaine de la mode, qui ne manque pas d’exhiber fièrement ses acquisitions sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui, outre les ventes publiques, il se fournit à Saint-Germain-des- Prés, chez le Bruxellois Didier Claes ou chez le Milanais Dalton Somaré. voir moins

Eléonore Théry

Le plus grand salon international des arts... voir plus Le plus grand salon international des arts premiers, asiatiques et d'archéologie se tient à ciel ouvert à partir d'aujourd'hui dans le quartier des Beaux-Arts et de Saint-Germain-des-Prés, à Paris. Jusqu'au 15 septembre, 64 marchands internationaux sont réunis pour cette 18e édition, qui témoigne d'une place croissant accordée à l'archéologie, avec la présence de huit galeries dont Arteas Ltd (Londres), Cahn Contemporary (Bâle) et la Galerie Eberwien (Paris). La collectionneuse grecque Kyveli Alexiou est présidente d'honneur de cette édition. Parmi les exposants, on retrouve les galeries Bacquart (Paris), Joe Loux (San Francisco) et Martin Doustar (Bruxelles), Bernard Dulon (Paris) pour les arts premiers, Max Rutherston Ltd. (Londres) pour les arts asiatiques ou encore J. Bagot Arqueología S.L. (Barcelone) pour la section archéologie. voir moins

The Art Newspaper Daily

Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours de... voir plus Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre » Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années. Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali). Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand. voir moins

Marie Potard - Le Journal des Arts

Parcours des mondes in Paris - widely rega... voir plus Parcours des mondes in Paris - widely regarded as the world’s most important tribal art event – is good at looking to the past while engaging with the present. While most of the exhibitors at this annual international event staged in and around the galleries of Saint-Germain-des-Prés (11–16 September) focus on tribal art – the lion’s share from Africa – space is also found for contemporary expressions of traditional practice. This may be recent Aboriginal art or, as last year’s honorary president, Javier Peres, demonstrated in the loan exhibition he staged in the Espace Tribal, the work of artists from across the globe who reconnect to their cultural roots through the prism of modern and contemporary art. Both loan exhibition and honorary president this year connect the tribal with the contemporary. voir moins

Susan Moore - Apollo

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