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Claes Gallery Arts d'Afrique sub-saharienne

Claes Gallery est spécialisée dans les arts du continent africain de l'Afrique de l'Ouest à l'Afrique Centrale.

Biographie

Didier Claes est expert en Arts Africains et plus particulièrement spécialisé dans les arts d’Afrique Centrale. Durant les années 70, enfant, il sillonne avec son père, collecteur pour les musées de Kinshasa, les villages les plus reculés de la brousse à la recherche de pièces de collection. Il passe toutes ses vacances à l’accompagner dans ses expéditions. De corvée pour dépoussiérer les fétiches, il apprend malgré lui à distinguer les cultures, les traditions et les techniques. Dès l’âge de 11 ans, par jeu, il commence à acheter des objets pour se faire sa propre petite collection. Il se forme ensuite dans l’ombre des premiers antiquaires s’aventurant dans la région. Installé en Belgique à la fin de son adolescence, il effectue dès 1989 ses premiers voyages en solitaire au Zaïre où, connaissant plusieurs dialectes, il approfondit ses connaissances. Bien que les pièces se raréfient en Afrique, il est persuadé qu’il trouvera encore des « pépites » en brousse. Contre toute attente, il y découvre une pièce totalement unique. Ce coup d’éclat lui permet de se faire connaître sur le marché de l’art africain.

Pendant une dizaine d’années, il fournit les marchands de Bruxelles et de Paris en achetant des pièces en Europe. Mais malgré son oeil infaillible et sa culture, il est trop jeune pour être pris au sérieux sur un terrain déjà occupé par d’autres marchands. Il se tourne alors vers les USA où il prend un nouveau départ en 1996 en participant à des dizaines de foires dans tous les Etat-Unis afin de rencontrer les personnes qui comptent dans son secteur. Après le 11 septembre 2001, le marché américain est sous le choc. Didier Claes décide de réorienter son énergie sur le marché européen. Nouveau coup de théâtre, il parvient à dénicher une pièce historique d’exception dans une maison privée belge, alors que le secteur est persuadé que les pièces majeures de l’art africain sont déjà connues et sur le marché. Cette découverte inédite, son parcours sans faute et son travail aussi passionné qu’acharné, font de lui un antiquaire/expert incontournable du marché. Privilégiant l’excellence et passionné par toutes les formes d’art, Didier Claes aime se fixer des défis, comme arriver à motiver de jeunes collectionneurs, placer au grand jour des objets encore inconnus mais aussi ouvrir de nouveaux marchés comme en Chine ou même en Afrique.

Découvrez ses oeuvres

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Contact

Abdijstraat 14 Rue de l’Abbaye

1050 Bruxelles Belgique

+32 477 66 02 06

+32 490 40 07 26

https://www.didierclaes.com/

Retrouvez la Claes Gallery pendant le salon 

Jousse Entreprise

18, rue de Seine

Cliquez ici pour retrouver tous les exposants au Parcours des mondes.

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Revue de presse

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Le marché des arts d’Afrique se développ... voir plus Le marché des arts d’Afrique se développe auprès d’un petit nombre de clients chinois, attirés par ses formes épurées. Parmi eux, des artistes, des hommes d’affaires ou des intellectuels, dont quelques femmes. Ils plébiscitent les pièces aux formes épurées dont l’esthétique a un potentiel universel, boudant au contraire les objets magiques et rituels à la forte connotation spirituelle. Point commun de cette clientèle : elle est extrêmement discrète et ne lève guère le voile sur sa collection. Il est pourtant une figure emblématique de ces nouveaux collectionneurs : l’exubérant Leinuo Zhang, installé à Milan et à la tête de plusieurs sociétés dans le domaine de la mode, qui ne manque pas d’exhiber fièrement ses acquisitions sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui, outre les ventes publiques, il se fournit à Saint-Germain-des- Prés, chez le Bruxellois Didier Claes ou chez le Milanais Dalton Somaré. voir moins

Eléonore Théry

Le plus grand salon international des arts... voir plus Le plus grand salon international des arts premiers, asiatiques et d'archéologie se tient à ciel ouvert à partir d'aujourd'hui dans le quartier des Beaux-Arts et de Saint-Germain-des-Prés, à Paris. Jusqu'au 15 septembre, 64 marchands internationaux sont réunis pour cette 18e édition, qui témoigne d'une place croissant accordée à l'archéologie, avec la présence de huit galeries dont Arteas Ltd (Londres), Cahn Contemporary (Bâle) et la Galerie Eberwien (Paris). La collectionneuse grecque Kyveli Alexiou est présidente d'honneur de cette édition. Parmi les exposants, on retrouve les galeries Bacquart (Paris), Joe Loux (San Francisco) et Martin Doustar (Bruxelles), Bernard Dulon (Paris) pour les arts premiers, Max Rutherston Ltd. (Londres) pour les arts asiatiques ou encore J. Bagot Arqueología S.L. (Barcelone) pour la section archéologie. voir moins

The Art Newspaper Daily

Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours de... voir plus Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre » Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années. Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali). Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand. voir moins

Marie Potard - Le Journal des Arts

Parcours des mondes in Paris - widely rega... voir plus Parcours des mondes in Paris - widely regarded as the world’s most important tribal art event – is good at looking to the past while engaging with the present. While most of the exhibitors at this annual international event staged in and around the galleries of Saint-Germain-des-Prés (11–16 September) focus on tribal art – the lion’s share from Africa – space is also found for contemporary expressions of traditional practice. This may be recent Aboriginal art or, as last year’s honorary president, Javier Peres, demonstrated in the loan exhibition he staged in the Espace Tribal, the work of artists from across the globe who reconnect to their cultural roots through the prism of modern and contemporary art. Both loan exhibition and honorary president this year connect the tribal with the contemporary. voir moins

Susan Moore - Apollo

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